aksaray web tasarım istanbul web tasarım web tasarım hazır beton emin inşaat aksaray hazır beton UQAM | BiCÉAB-CarBBAS | Marie Gérardin

Marie Gérardin

Marie

Marie Gérardin
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Étudiante à la maîtrise

 

Coordonnées

514-987-3000, poste 2927

Université du Québec à Montréal
Pavillon des sciences biologiques, SB-2805
2080 St-Urbain
Montréal, Québec
H2X 3X8
Canada

Diplôme(s)

Diplôme(s) complété(s)

B.Sc. 

Biographie

Les rivières boréales sont d’importantes composantes du cycle global du carbone, émettant chaque année 1,8Pg de carbone (C) vers l’atmosphère sous forme de CO2 et CH4. Bien que les apports terrestres soient la source majoritaire de C dans les rivières, ces flux sont généralement modélisés ou estimés à partir de bilans de masse, ce qui introduit un biais dans les budgets de C et les rend difficilement extrapolables. L'étude que je réalise a pour but de mieux intégrer les apports latéraux de CO2 et CH4 dans les budgets actuels de carbone des rivières boréales. En ce sens, j’effectuerai un bilan complet du carbone sur le réseau fluvial des rivières sources du bassin versant de la Romaine (Québec) et en extrairai les variations spatiales. Dans un second temps, mon objectif sera de déterminer les tendances saisonnières de la contribution relative des sources externes versus internes de CO2 et CH4 tout au long du continuum fluvial. Une approche de bilan de masse est utilisée sur des segments de chacune des rivières sous deux régimes hydrologiques différents (débit de base et crue). Elle inclut la mesure directe des apports de C par les sols et les eaux souterraines à l’aide d’un traceur gazeux, le Radon (222Rn). Les émissions de C vers l’atmosphère sont mesurées quant à elles à l’aide de chambres flottantes installées à la surface de l’eau. Je prévoie que la contribution relative des eaux souterraines en C diminuera progressivement d’amont en aval au profit de la production in situ. Une diminution semblable est attendue avec l’augmentation du débit de base vers celui de crue. Ainsi cette étude permettra d’établir l’évolution spatio-temporelle de la contribution relative des sources externes versus internes de CO2 et CH4 tout au long du continuum fluvial.  

Publications

 

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